Le pays doit faire face à une pression économique grandissante et des manifestations de rue ont eu lieu début juillet. Les ONG présentes dans le pays ont dû prendre des mesures préventives de sécurité.
La directrice nationale de SOS Villages d’Enfants Zimbabwe : « Nous avons demandé à nos collaborateurs de rester chez eux lorsque cela était possible, de fermer les écoles si nécessaire et de tenir les enfants éloignés des rues. Il n’y a plus de transport public et il est difficile de se déplacer à Harare, la capitale. Nos équipes ont comme priorité d’assurer la sécurité des enfants ».
SOS Villages d’Enfants Zimbabwe gère des programmes à Harare, Maizelands, Bindura et Bulawayo. Les personnes assurant les relais au sein des communautés ont également préparé des plans d’urgence au cas où la sécurité des enfants serait menacée.
Sur cette carte, la répartition des villages d’enfants SOS au Zimbabwe :
Pour connaître la répartition des villages d’enfants SOS dans le monde consultez : notre carte
Crédit photo : Janie Dufty